Mon âme était tourmentée au-delà de ce que je pouvais supporter. Je suis donc allée assister, à Sainte Bénédicte, à un office du vendredi soir que je ne suis pas prête d’oublier. En, général, j’aimais cet office à cause de la merveilleuse présence du Saint-Esprit. Mais ce soir-là, j’étais tenaillée par le désespoir et je n’arrivais pas à en sortir. Je me suis avancée pour la prière.
La dame qui a prié pour moi était celle qui avait demandé à Dieu de me faire chanter un chant d’adoration, comme un ange. Elle sourit et me prit les mains. J’étais trop tourmentée pour lui rendre son sourire. J’ai dit : - Demandez au Seigneur qu’il veuille bien me pardonner d’être une personne si mauvaise.
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Pleine d’un amour insatiable pour le Seigneur et de gratitude pour l’amitié du Saint-Esprit, j’ai commencé à prier deux heures par jour : une nouvelle maison, une nouvelle vie, une nouvelle intensité de prière… certainement, toutes choses allaient devenir nouvelles. Quoique j’aie abandonné l’alcool, sachant que cela attristait le Seigneur et m’éloignait de lui, John continuait à boire. Pourtant il semblait faire des pas de géant. En ce qui concernait l’église et les choses de Dieu, il semblait très bien marcher. Un jour, un ami m’a envoyé une cassette d’un certain ministère et j’ai dit à John :
- Il faut que tu entendes ça ! Je veux commander toutes les cassettes de ce Kenneth Copeland. - Vas-y, commande-les, me répondit-il. En parcourant le journal un jour, j’ai remarqué une annonce parlant d’une messe spéciale dans une certaine église, et j’ai senti que mon esprit me poussait à y assister. Dès l’entrée dans le sanctuaire, je fus abasourdie. Des centaines de personnes chantaient en harmonie dans des tonalités multiples, en levant les mains en l’air et adorant le Seigneur ! Je me suis presque arrêtée de respirer tant j’étais émerveillée par les sons que j’entendais et l’extase dont j’étais témoin.
« Je ne sais pas ce qu’ils ont, murmura John, mais je le veux. » Il m’entraîna dans l’allée et nous fit asseoir au deuxième rang, ce qui est très inhabituel chez un homme habitué à toujours s’asseoir au dernier rang des églises. Lorsque nous sommes repartis, j’ai attrapé une affichette annonçant une retraite sur le renouvellement dans le Saint-Esprit, qui avait lieu pendant un weekend, dans une église d’Oakland. Mon cœur fit un bond. Le Seigneur était-il en train de me parler ? |
Marty
Delmon Écrivaine
Évangéliste Enseignante Écrire était profondément inscrit dans mes gènes si je peux parler ainsi. Mais quand j’ai donné ma vie à Jésus, Il m’a dit qu’Il m’avait créé pour écrire toutes mes aventures spirituelles et j’ai commencé à le faire. Après tout, si Dieu tout puissant me faisait com- prendre que son projet sur moi c’était d’être son écrivain, qui suis-je pour discuter son plan ?
Mon espérance, c’est vous n’aimiez pas seulement ce que j’écris mais que mes mots changent votre vie. Qu’ils vous mettent en route vers Jésus et avec Jésus. Que vos jours avec Lui sur cette terre, ressemblent au ciel. Archives
October 2018
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