En-dessous de tous ces négatifs que j’ai vu en moi-même, tels que la compétition, j’ai vu une pierre sur laquelle ils reposaient tous : le meurtre. Ce n’est pas un hasard si l’histoire de Caïn et Abel se trouve dans la Bible. Le fait même que Caïn tue Abel est représentatif de chaque action que nous posons contre quelqu’un d’autre, dans notre course pour nous promouvoir nous-mêmes. Tout le problème est là. Nous n’avons pas à nous promouvoir nous-mêmes. Notre Dieu a tout planifié, si nous voulons bien suivre Ses instructions. C’est Lui qui relève nos têtes.
Quand j’étais jeune fille, j’aimais beaucoup jouer au tennis, mais je ne me souviens pas avoir gagné un match ou même un set. J’aimais l’action même de ce sport, et je me réjouissais quel que soit le gagnant. C’est la seule activité pour laquelle je pouvais dire cela. Pour tout le reste, je sortais « les armes ». Je ne veux pas de cet esprit de compétition en moi, je ne veux battre personne, alors j’ai demandé au Seigneur comment faire pour m’en débarrasser. Il m’a dit de l’affamer : « ne nourris pas cet esprit et il s’en ira. » Lorsque je m’investis dans la vie en appréciant les actions, en promouvant les autres, sans chercher à savoir qui gagnera, mon Créateur est content de moi et c’est Lui qui gagne en fin de compte. À suivre . . . Traduit par Catherine Brieau
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Qu’ai-je vu en moi-même ? La compétition. La manipulation. La méfiance. Le contrôle. L’intérêt personnel. L’orgueil. Sans oublier la cupidité ! Et plus encore. J’ai essayé de me trouver des excuses : « après tout Seigneur, ces défauts sont humains. La société nous enseigne que si nous voulons réussir, nous avons intérêt à développer ces traits de caractère.» Mais notre société a tort. Laissez-moi vous donner un exemple.
Ma belle-fille m’a envoyé une photo de ma petite fille, âgée de 6 ans, debout sur une estrade, attendant de recevoir la médaille d’or, premier prix d’une longue course à pied. Sa posture sur l’estrade était humble presque embarrassée d’avoir gagné, bien que contente tout de même. Ensuite j’ai regardé tous les enfants qui l’entouraient. Pas un seul visage n’exprimait l’amour, la paix, ou la joie. Aucun ne se réjouissait de la victoire de ma petite-fille. On voyait de l’angoisse, de la colère, du désespoir, de l’envie, de la rage et d’autres sentiments négatifs que je pouvais nommer sur chacun des visages. C’est ce que produit la compétition. C’est pourquoi la Bible dit de mettre son frère en avant. Laissez l’autre avoir la meilleure place. Suis-je en train de dire qu’il ne faut pas faire de compétition ? Certainement pas. Ce que je veux dire c’est que lorsque je perds, je veux que mon visage rayonne d’amour et de joie pour celui qui a gagné, tout comme Jésus le ferait. À suivre . . . Traduit par Catherine Brieau Tout au début de ma nouvelle naissance, j’étais remplie de mensonges auxquels j’accordais du crédit du fait des comportements, des mots et des actions exercés par les autres à mon encontre. Ces mensonges m’ont hantée dès le tout début de mon enfance. J’ai demandé Au Seigneur de m’aider à mettre de l’ordre dans tout cela, car je vivais une véritable tourmente interne. Il m’a alors répondu : « Ce n’est pas ce que tu as vécu qui a créé ce désordre (j’étais un enfant illégitime, mon beau-père m’a violée pendant de années, etc.), ce sont les mensonges que tu as cru te concernant qui ont créé ce chaos ». Il m’a alors donné un processus de prière pour exposer le mensonge (un à la fois), pour prendre conscience des dégâts qu’il a causé, de sa provenance, pour ensuite l’enlever et planter à sa place la vérité. J’ai utilisé ce processus, et j’ai ainsi ôté plu de 200 mensonges.
J’avais été transformée et pourtant, je me rendais bien compte que je n’étais pas l’image exacte de Jésus-Christ. Ma pensée était renouvelée, et mes émotions guéries, où était donc la nature de mon Seigneur ? Je voulais Lui ressembler. Qu’attendait-on de plus, de moi ? C’est alors que je l’ai vue. En-dessous de cette couche de mensonges, il y avait, étendue là, la masse que j’étais. Personne n’avait fait de moi cette chose répugnante que j’ai vue ; c’est moi-même qui m’étais construite de la sorte. Je rentrais alors probablement dans un état que les gens de l’ancienne époque appelaient ‘mourir à soi-même’. À suivre . . . La nouvelle création que nous devenons a faim de la Parole. Tout comme un bébé réclame du lait, la seule nourriture qui satisfasse notre nouvel esprit c’est la Parole de Dieu. Nous voulons vivre comme elle nous l’enseigne. C’est tout simplement en la lisant que nous plantons la Parole de Dieu en nous. Ensuite, l’Esprit de Christ qui vit en nous utilise la Parole pour reconstruire nos vies. Si nous la lisons suffisamment, nous commencerons à parler comme elle, à croire ce qu’elle dit, et nous aurons et serons ce que Dieu a créé en nous au départ. Sa Parole, c’est Jésus. Sa Parole est vie. Sa Parole est lumière. Sa Parole est amour. Sa Parole est claire et catégorique, et lorsque nous vivons Sa Parole nous Lui procurons de la satisfaction et Il dit de nous : « c’est bien, très bien. . . . »
Jésus a dit que nous semons la Parole, nos bouches la proclament, et cette Parole produit une récolte, lentement, mais surement. Tout comme la cellule souche a en elle la plénitude et la maturité de la vie du bébé, cette cellule doit se diviser et se multiplier, en d’autres mots, elle doit croître, et elle finira par produire une récolte. La graine que nous semons c’est la Parole de Dieu, des mots qui sortent de nos bouches en accord avec les Paroles de Dieu. Nous les semons dans le Vent du Saint-Esprit. Chaque graine, chaque Parole qui sort de Dieu contient une vie pleine et à point. Lorsqu’elle est semée, d’autres forces se mettent en œuvre pour amener la semence à maturation. Une graine de blé a besoin de terre, d’eau, de soleil. Une semence de la Parole nécessite de la persévérance, de la fidélité, et de la foi. La fidélité signifie que je peux compter sur Lui. La foi signifie qu’Il peut compter sur moi. En général seules des circonstances contraires peuvent produire en nous les forces dont nous avons besoin. Cette nouvelle vie que nous menons, se fraiera un chemin, pour émerger de ce lieu profond où elle a été plantée en nous. Tout comme la graine se développe, la Parole commencera à croître dans cet espace profond et illuminera nos pensées. Tout comme des feuilles se déploient sur la nouvelle tige sortant du sol, ainsi nos paroles se formeront à partir de la Parole qui croît dans nos esprits. De même que le fruit mûrit pour la récolte, nos corps reflèteront notre Seigneur Jésus-Christ. Nous réagirons aux oppositions avec l’amour, la tendresse, l’honnêteté, la droiture, l’audace, et l’humilité que Jésus nous a enseignés en vivant simplement parmi nous, comme notre modèle. À suivre. . . . Traduit par Catherine Brieau La Bible met beaucoup de temps à présenter Jésus-Christ. L’Ancien Testament est une longue progression vers l’avènement du Fils de Dieu au monde. En effet, Il est présent dans chaque livre, devenant de plus en plus réel, le monde à son tour se préparant progressivement à Le recevoir, bien que pas totalement. Lorsque la Lumière de Dieu ouvre les yeux de l’homme, sa première réaction est de se voir rempli de péché. Il voit le désastre qu’il a fait de sa vie, le Créateur ayant mis devant lui la vie véritable, il réalise qu’il a choisi les ténèbres. La plupart des gens souhaitent ressembler au Fils de Dieu lorsqu’ils le voient. D’autres préfèrent la route sombre, le chemin rempli de péché qui fait de l’homme un ennemi de Dieu. Cependant, l’âme de celui qui choisit la Lumière est ensuite mise en pièce, tout ce avec quoi il s’était construit, retourne au chaos, et le Saint Esprit commence à le reconstruire à l’image même de Jésus-Christ.
La création de Dieu Le satisfait, et ce que le Saint Esprit recrée dans un homme Le satisfait également. Cela peut prendre du temps. En fait, le temps que cela prend dépend de l’abandon de l’homme. S’est-il entièrement abandonné à la Lumière ? Ou abrite-t-il des ténèbres quelque part ? Une fois que le Saint Esprit a été accueilli, Il ne s’en va jamais et finalement c’est tout ce qui est ténèbres qui disparaîtra. Comment le Saint Esprit travaille – Il ? Par la Parole. « C'est l'esprit qui vivifie ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie » (Jean 6 :63). À suivre. . . . Il y a une autre partie de notre être que personne ne voit, et pourtant elle a été aussi créée par Dieu. Il s’agit de notre âme. La Bible dit qu’Il se soucie de nos âmes. Cette partie invisible est peut-être ce dont Elle parle comme n’étant pas présentable. Pourtant, les premiers êtres humains étaient nus et Dieu n’y voyait pas d’inconvénient. L’âme a trois parties : 1) la pensée qui n’est pas une partie de notre cerveau, en fait, elle utilise le cerveau ; 2) les émotions, qui ne sont pas une partie de notre cœur, mais qui se servent du cœur ; et 3) la volonté qui n’est pas une partie des cordes vocales mais qui se sert des cordes vocales. Notre volonté est la partie la plus incomprise des trois parties de notre âme. Disons tout simplement, pour le moment, que notre voix correspond à ce que nous voulons parce que ce que nous disons appelle à l’existence ce que nous avons voulu qu’il se passe. Assez souvent, la volonté s’oppose aux deux parties ensemble ou à chacune d’entre elles : le cœur ou la pensée. Nos paroles déterminent qui est le vainqueur.
1 Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre. 2 La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux(Genesis 1 :1, 2).
Le chaos est en réalité le fondement de la terre. A l’intérieur de la boule dans laquelle nous résidons, il y a toutes les ressources dont nous avons besoins et que nous pouvons utiliser. Il y en a encore beaucoup d’autres que nous n’avons pas encore découvertes mais elles sont bien là, toutes à l’état brut. Chaque enfant qui vient au monde doit trouver la réponse aux questions suivantes : « Qui suis-je ? » et « Pourquoi suis-je né ? » Nous nous posons tous les mêmes questions et nous en venons tous aux mêmes réponses. Cependant on ne peut répondre à ces questions si on ne tient pas compte de la notion de processus. La vie, est un processus sans fin.
Prenons quelques exemples : la mort d’un proche ne met pas un terme à la vie. Elle se poursuit à travers ceux qui sont encore en vie. La construction d’une maison ne se termine pas à la remise des clés. Elle ne cesse de changer : de vivre si elle est habitée, de se délabrer si elle ne l’est pas. Le divorce ne met pas fin au mariage. Les ex-époux continuent à porter en eux, dans leurs âmes, la relation. Pour évoluer dans ce processus qu’est la vie, il n’existe qu’une seule ressource irréfutable, un guide infaillible, le seul manuel terrestre du fabricant : la Bible. Les mots que nous y lisons sont des révélations. Il n’y a pas de place pour la discussion, le débat, le compromis ou les suggestions. Elle nous donne simplement des faits en nous disant : « Voilà les choses telles qu’elles sont. » On sait que la révélation dans le Livre est progressive. On part de la création et de ce que l’humanité en a fait, et l’information évolue jusqu’à ce que nous comprenions à la fin, le monde spirituel dans lequel nous avons toujours vécu. Traduit par C. Brieau |
Marty
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