Cantique des Cantiques 1:8
SALOMON Si tu ne le sais pas, ô la plus belle des femmes, sors sur les traces des brebis, et fais paître tes chevreaux près des demeures des bergers. La réponse est si simple. Ne vous fatiguez pas à trouver des âmes dans leur zone de détente, elles n’écouteront pas notre témoignage là. Allez dans leur foyer. Allez là où ils ne sont pas voilés, et sont plus ouverts à écouter ce que nous disons. Il n’y a que ça. Quand nous essayons d’aller vers les gens et leur parler de Jésus quand ils s’amusent, l’éternité même ne suffirait pas à les détourner de leur sport ou de leurs loisirs. Mais là où ils vivent, c’est là qu’ils manifestent des besoins que seul Dieu peut combler. Nous pouvons être le plus juste des hommes, ou des femmes, mais cela n’est pas censé resté latent en nous, cela nous équipe pour parler ouvertement. Il s’agit simplement de choisir notre lieu. Pour rencontrer le besoin des gens, là où il est le plus grand, il faut de la sagesse. Ils ont besoin de savoir par-dessus tout, combien ils sont aimés, juste comme ils sont. Quand ils saisissent cela, tout est possible. Traduction d’Emmanuelle Denfert
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Cantique des cantiques 1:7
À SALOMON Dis-moi, ô toi que mon cœur aime, Où tu fais paître tes brebis, Où tu les fais reposer à midi ; Car pourquoi serais-je comme une égarée Près des troupeaux de tes compagnons ? Quelle image parfaite du chrétien réticent ! Combien de fois allons-nous à un groupe de relaxation et nous voilons notre personnalité de façon à ce que personne ne nous perce à jour, celui que Jésus, le fils du Dieu tout Puissant aime ? Nous nous tournons vers Jésus et lui demandons où nous devrions aller. Où fait-Il paître ses troupeaux, pour que nous puissions y aller nous aussi sans avoir besoin de nous voiler ? |
Marty
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