Comme plusieurs d’entre vous, certainement, j’ai eu dans ma vie des figures d’autorité qui n’avaient pas une haute opinion de moi ni de mes capacités. Dès l’enfance je voulais être écrivain, mais ma mère m’avait dit que je n’étais pas assez intelligente : alors j’ai mis tous mes écrits dans une boite noire que j’ai fourrée sous mon lit. Par la suite, j’ai rencontré Jésus et, tout de suite, Il m’a dit : « Je veux que tu écrives pour moi ». Maintenant, il ne m’importe plus guère de savoir si je suis ou non intelligente car j’ai la pensée de Christ ! Lui et moi, nous écrivons ensemble !
Mais je dois admettre que j’ai traînassé. Je me suis lamentée sur ma soi-disant incapacité jusqu’à ce qu’un jour Il ait, littéralement, crié de sa façon paternelle : « ÉCRIS ! » Soudain, j’ai su ce que je devais faire : j’allais recueillir les témoignages des gens et les raconter à la radio. Les interviews m’ont fourni la matière et ma passion pour le théâtre m’a aidé à mettre en scène ces récits. J’ai rédigé des histoires de quinze minutes, je les ai enregistrées sur un fond musical et accompagnées d’effets sonores. À l’apogée de ma carrière radiophonique, j’étais diffusée par 107 stations dans le monde entier. Certains directeurs de radio ont témoigné avoir reçu des appels d’auditeurs qui, parce qu’ils avaient entendu mes histoires, voulaient raconter comment ils avaient été sauvés et guéris !
Comme plusieurs d’entre vous, certainement, j’ai eu dans ma vie des figures d’autorité qui n’avaient pas une haute opinion de moi ni de mes capacités. Dès l’enfance je voulais être écrivain, mais ma mère m’avait dit que je n’étais pas assez intelligente : alors j’ai mis tous mes écrits dans une boite noire que j’ai fourrée sous mon lit. Par la suite, j’ai rencontré Jésus et, tout de suite, Il m’a dit : « Je veux que tu écrives pour moi ». Maintenant, il ne m’importe plus guère de savoir si je suis ou non intelligente car j’ai la pensée de Christ ! Lui et moi, nous écrivons ensemble !
Mais je dois admettre que j’ai traînassé. Je me suis lamentée sur ma soi-disant incapacité jusqu’à ce qu’un jour Il ait, littéralement, crié de sa façon paternelle : « ÉCRIS ! » Soudain, j’ai su ce que je devais faire : j’allais recueillir les témoignages des gens et les raconter à la radio. Les interviews m’ont fourni la matière et ma passion pour le théâtre m’a aidé à mettre en scène ces récits. J’ai rédigé des histoires de quinze minutes, je les ai enregistrées sur un fond musical et accompagnées d’effets sonores. À l’apogée de ma carrière radiophonique, j’étais diffusée par 107 stations dans le monde entier. Certains directeurs de radio ont témoigné avoir reçu des appels d’auditeurs qui, parce qu’ils avaient entendu mes histoires, voulaient raconter comment ils avaient été sauvés et guéris !