Part d'un Auditeur de Radio
Un de mes plus chers souvenirs est lorsque j’ai reçu un coup de fil d’un directeur de station de radio. J’avais peu de contacts de ce genre car je les évitais parce qu’il me semblait que mon français n’était pas à la hauteur. Il pensait que j’aimerais savoir ce qui se passait sur sa radio (qui diffusait dans un rayon touchant plus d’un million de personnes). Une nuit une bénévole surmenée, seule en poste, n’a pas pu écouter le programme car elle avait trop de travail. Les auditeurs avaient entendu l’une de mes histoires intitulée Le Bon Samaritain.
Un auditeur a appelé pour demander à la bénévole ce que l’homme opéré à l’hôpital du Bon Samaritain avait fait. Elle a avoué qu’elle n’en savait rien parce qu’elle n’avait pas eu le temps d’écouter l’histoire. L’auditeur a répondu qu’il lui fallait savoir à tout prix car de même que le personnage de l’histoire, il avait lui aussi un cancer en phase terminale. Il voulait le vaincre tout comme le personnage de l’histoire.
Elle s’est excusée et a dit qu’elle allait arrêter la programmation automatique pour annoncer qu’elle allait repasser l’histoire du Bon Samaritain à la requête d’un auditeur qui pourrait ainsi prendre des notes sur la façon de vaincre son cancer.
Le directeur de la radio a dit que c’était exactement ce que la bénévole avait fait et en deux mois ils avaient reçu plus de 200 appels de personnes les remerciant d’avoir repassé cette histoire car elles étaient maintenant guéries. Les guérisons concernaient des tas de maladies, pas seulement le cancer. Et bien sûr six semaines plus tard, celui qui avait appelé en premier a rappelé pour signaler qu’il avait été totalement guéri de son cancer en phase terminale.
Un auditeur a appelé pour demander à la bénévole ce que l’homme opéré à l’hôpital du Bon Samaritain avait fait. Elle a avoué qu’elle n’en savait rien parce qu’elle n’avait pas eu le temps d’écouter l’histoire. L’auditeur a répondu qu’il lui fallait savoir à tout prix car de même que le personnage de l’histoire, il avait lui aussi un cancer en phase terminale. Il voulait le vaincre tout comme le personnage de l’histoire.
Elle s’est excusée et a dit qu’elle allait arrêter la programmation automatique pour annoncer qu’elle allait repasser l’histoire du Bon Samaritain à la requête d’un auditeur qui pourrait ainsi prendre des notes sur la façon de vaincre son cancer.
Le directeur de la radio a dit que c’était exactement ce que la bénévole avait fait et en deux mois ils avaient reçu plus de 200 appels de personnes les remerciant d’avoir repassé cette histoire car elles étaient maintenant guéries. Les guérisons concernaient des tas de maladies, pas seulement le cancer. Et bien sûr six semaines plus tard, celui qui avait appelé en premier a rappelé pour signaler qu’il avait été totalement guéri de son cancer en phase terminale.