Celui qui dit : « Je l'ai connu », et qui ne garde pas ses commandements, est un menteur, et la vérité n'est point en lui (1 Jean 2:4).
Un homme que je connaissais allait à l’église tous les jours de sa vie, mais il avait cessé de faire cela, me dit, « Dis à Dieu que je le l’aime toujours, même si je ne suis pas allé le voir ces derniers temps.” Une grande tristesse est venue sur moi. Est-ce que je me sentirais aimée si quelqu’un me disait une telle chose ? Je ne crois pas. Est-ce que mon ami connaissait vraiment Dieu ? Je ne peux pas croire que oui. Quiconque connait Dieu sait que Dieu ne vit pas dans un bâtiment, mais dans le cœur de Son peuple. Il plante son royaume en ceux qui croient en Lui, et construit Son temple dans chacun d’eux.
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Si nous gardons ses commandements, par là nous savons que nous l'avons connu (1 Jean 2:3).
Connaissez-vous Jésus ? Je le connais depuis 33 ans. J’avais entendu parler de Lui, il y a 39 ans déjà en allant à l’église, mais malgré tout je ne l’ai rencontré qu’à l’âge de 39 ans. Et ensuite j’ai réalisé qu’elle perte de temps a été toute la première partie de ma vie. Maintenant je Le connais, et plus je Le connais, et plus je réalise qu’il y a de choses à découvrir. Le Saint Esprit m’a bouleversée, et a mis de l’ordre dans le bazar qu’avaient occasionné les 39 premières années de ma vie, et cependant il y a encore des petites partie de moi qui veulent s’accrocher aux vieux travers. Sa façon à Lui est SI simple, et en même temps si difficile à faire. Tout ce qu’Il demande c’est que nous nous aimions si fort que nous devenions un. Parce qu’»aimer » est une action, cela suppose de bouger, quand je marche véritablement avec Lui, dans l’amour, je sens Ses jambes marcher à la place des miennes. Ce n’est pas si anormal. La Bible dit qu’Il vit en nous. Il a tant aimé le monde qu’Il a donné Sa vie pour lui. Quel est son commandement ? De s’aimer les uns les autres comme Il nous a aimé et de vraiment réaliser que nous avons besoin de Le connaitre et de Lui obéir. Traduction d’Emmanuelle Denfert Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier (1 Jean 2:2).
Ça m’épate que certains s’appellent toujours des pécheurs quand Jésus a payé un prix si onéreux pour que tout le monde sur Terre puisse être sauvé. Il a payé pour chaque péché. Cela ne concerne pas simplement les petits péchés parce que même un tueur en série peut être pardonné. Ces gens qui torturent les autres de façon si vicieuse de nos jours, que nous en avons le souffle coupé à la lecture de ces horreurs, et bien Jésus a déjà payé pour leur péché. C’est renversant. Peut-être voit-il ce que cette personne pourrait être. Peut-il voit-il le petit garçon ou la petite fille qui a été traité si sauvagement et qui traite à son tour les autres aussi sauvagement. Cependant, cela ne semble pas juste. Et pourtant tout le monde est pardonné. Bien entendu il y a une condition à ce pardon et c’est que chacun accepte l’œuvre de Jésus, ce qu’Il a fait au travers de sa mort, son ensevelissement et sa résurrection. La plupart des gens ne savent pas qu’ils sont pardonnés. C’est notre boulot d’aller le leur dire. Si nous ne le faisons pas, ils ne sauront pas, et ils passeront leur éternité à payer pour leurs péchés, mêmes les plus petits, en enfer. Traduction d’Emmanuelle Denfert Mes petits enfants, je vous écris ces choses, afin que vous ne péchiez point. Et si quelqu'un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-Christ le juste (1 Jean 2:1).
Mes amis catholiques vont en confession une fois par semaine. Je ne sais pas comment ils font. Je dois y aller tous les jours ! Des pensées négatives construisent des forteresses dans mes pensées, et je dis des choses stupides tous les jours de ma vie. Certains jours je ne fais pas ce que le Seigneur me dit, juste parce que je n’en n’ai pas envie. Dieu merci, Jésus est mon avocat. Il va voir le juge de tout l’Univers, avec son client honteux et dit, « Monsieur le président, papa, Marty est coupable de ce qui lui est reproché. » Ensuite il jette un œil triomphal au diable qui est l’accusateur, et dit à Dieu, « Elle a déposé son dossier dans mon sang, qui paye pour tous ses péchés passés, présents, et à venir ». Dieu prend le dossier, le classe en adressant un sourire à mon avocat « Jésus, Fils, les charges sont abandonnées ». Traduction d’Emmanuelle Denfert |
Marty
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