Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et aucune occasion de chute n'est en lui (1 Jean 2:10).
Oh la vie est facile quand on aime absolument tout le monde. J’aime me dire « j’aime tout le monde, et tout le monde m’aime ». Je me sens bien et j’ai des relations merveilleuses avec les gens, même si cela ne dure qu’un dimanche matin. Mais j’ai aussi remarqué que les commerçants sont plus sympas avec moi quand je suis dans cet état d’esprit. Je m’amuse beaucoup au téléphone quand les gens m’appellent, y compris ces démarcheurs enquiquinants. C’est une merveilleuse façon de vivre. Je ne sais pas pour vous, mais je n’aime pas trébucher. J’aime avancer d’un pas sûr. Marcher dans les ténèbres ne donne aucune confiance. Je préfère la lumière. L’amour est associé à la lumière et la haine aux ténèbres. Le choix à faire devient évident alors. Vous pourriez dire « Oui, mais tu ne sais pas ce que cette personne m’a fait ! » Oh, mais je sais. Si vous connaissiez ma vie, vous vous demanderiez comment j’ai jamais pu trouver la Lumière. Merci Seigneur qu’Il est venu pour moi ! Nous ne pouvons pas arrêter les pensées qui viennent tout droit de notre passé brisé, mais nous pouvons refuser de trébucher dessus en choisissant délibérément de penser à autre chose, quelque chose qui nous donne la joie, ou la lumière, ou le bonheur, ou l’amour. Tout ce que je dois faire, c’est commencer à penser à Jésus et combien il m’aime et les ténèbres déguerpissent. Essayez. Vous adorerez. Souvenez-vous que je vous aime et que vous m’aimez ! Traduction d’Emmanuelle Denfert
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Celui qui dit qu'il est dans la lumière, et qui hait son frère, est encore dans les ténèbres (1 Jean 2:9).
Dis-donc, il y a bien des personnes que j’adorerais détester, mais je ne peux pas. Je veux être dans la lumière. J’aime vivre ma vie dans une joie indicible, et remplie de gloire. Si j’autorise la haine à s’inviter chez moi, même pour de TRES BONNES RAISONS, je ne peux plus vivre dans la lumière. Je dois prendre cette chose terrible que l’on m’a faite, et la mettre sur l’autel du ciel, invoquer le sang dessus et laisser Dieu s’en charger. Je ne peux même pas retourner à l’autel et voir si Dieu a suffisamment puni le coupable. Si je le donne à Dieu, je le donne complètement. Je n’ai pas à restaurer ce frère pour ce qu’il m’a fait, à moins qu’il ne se repente, et ne demande pardon, ensuite alors je cherche à restaurer cette relation. Ce que j’ai à faire c’est de danser sur le chemin de la lumière, sans penser au mal qu’on m’a fait. C’est devenu le problème de Dieu, plus le mien. Traduction d’Emmanuelle Denfert |
Marty
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